
Mon Espace Santé est un espace numérique personnel et sécurisé, proposé par l’Assurance Maladie et le ministère de la Santé, qui a vocation à devenir le carnet de santé numérique de tous les assurés. Grâce à ce service, chacun peut participer activement au suivi et à la préservation de sa santé.
En tant qu’acteur de l’autonomie, l’ADAR dépose des documents sur l’Espace Santé de ses bénéficiaires (projet d’accompagnement personnalisé, plan d’action du repérage des fragilités) permettant aux professionnels de santé de mieux les accompagner.
Mieux comprendre Mon Espace Santé
Le numérique facilite aujourd’hui le quotidien, y compris dans la santé. Les rendez-vous médicaux peuvent être pris via des applications, la téléconsultation est une alternative lorsqu’il n’est pas nécessaire de se déplacer chez le médecin, un dispositif de télésurveillance peut permettre qu’une partie du suivi médical soit réalisé à distance. Les innovations et les nouveaux services se multiplient.
C’est pourquoi l’Assurance Maladie et le ministère de la Santé mettent à disposition de chaque assuré un espace personnel sur Mon espace santé pour garantir un passage à la santé digitale en toute confiance, dans le respect du secret médical.
Chacun peut accéder à son espace personnel sur le site internet monespacesante.fr.
Les messageries MSSanté
L’ADAR utilise également la Messagerie de Santé Sécurisée. MSSanté est un espace de confiance au sein duquel les professionnels habilités à échanger des données de santé, en ville, à l’hôpital, ou dans les structures médico-sociales, peuvent s’échanger par mail des données de santé de manière dématérialisée en toute sécurité.
La MSSanté permet de :
- assurer la sécurité des échanges de données personnelles de santé entre professionnels habilités ;
- assurer l’interopérabilité de l’ensemble des messageries sécurisées existantes. Plus de 300 messageries coexistent au sein de l’Espace de Confiance, portées par des établissements, des industriels, des régions, …
- rendre possible la communication entre tous les professionnels de santé et entre les professionnels et les patients quel que soit l’outil de messagerie du professionnel.

Quand on a plusieurs prestataires à domicile, la gestion administrative peut s’avérer chronophage. Pour vous simplifier la vie, l’ADAR propose plusieurs solutions aux personnes disposant d’une connexion Internet :
Pour ne plus avoir les factures qui s’accumulent sur la table de salle à manger ou s’égarent
> Choisissez la facture électronique
Vous recevez une notification par email et les factures sont mises à disposition sur votre espace client ADAR44. Vous pouvez alors les visionner chaque mois et procéder au paiement comme d’habitude.
Comment procéder ? Une simple case à cocher pour choisir la dématérialisation dans votre Espace client en ligne (modifier votre « Profil »)
Pour ne plus oublier les règlements
> Mettez en place le prélèvement automatique
Le montant de votre facture est directement prélevé une quinzaine de jours après la mise à disposition de votre facture en ligne. Vous pouvez alors contester d’éventuelles anomalies avant le prélèvement mais notre service facturation reste bien évidemment à l’écoute pour toute erreur constatée ultérieurement.
Comment mettre en place le prélèvement ? Contactez notre service Facturation au 02 40 16 90 05
Pour réduire le montant à payer chaque mois
> Optez pour l’Avance Immédiate du Crédit d’Impôt (AICI)
Destineé aux usagers payants le tarif complet, l’AICI est très simple à mettre en place et l’ADAR s’occupe de tout. Résultat : vous ne payez que 50% de la facture. Comme son nom l’indique, le crédit d’impôts est immédiat et vous n’avez pas de démarches à faire l’année suivante pour récupérer les sommes engagées.
Comment mettre en place l’AICI ? Contactez notre service Facturation au 02 40 16 90 05. Une condition majeure : avoir déjà effectué une déclaration d’impôts en ligne.

La mobilité des aides à domicile est au cœur de nos préoccupations. C’est la clef de l’attractivité des métiers du prendre soin au quotidien et c’est augmenter le pouvoir d’achat de nos salariés. C’est également assurer une qualité de vie au travail et une qualité de nos prestations.
Cet été, l’ADAR s’est donc enrichi de nouveaux véhicules de fonction, portant la flotte totale à 100. Ce sont ainsi 60 nouvelles voitures qui ont été proposées cet été à nos salariés, principalement à celles et ceux qui parcourent un grand nombre de kilomètres chaque mois. Sérigraphiés du nouveau logo de l’association, ces véhicules portent haut et fort le slogan « L’art de prendre soin ». Au printemps 2025, 70 nouveaux modèles feront de nouveaux des heureux.
Des véhicules hybrides plus vertueux pour les aides à domicile
En partenariat avec le Groupe GCA-Toyota et avec le soutien du Département de Loire-Atlantique, le choix s’est porté sur des modèles hybrides, pour une empreinte écologique moindre et des économies de carburant. Ces nouveaux véhicules permettent également de sécuriser les aides à domicile et les personnes accompagnées grâce à des véhicules neufs.
Très rapidement, les salariés concernés par cette dotation ont fait des retours positifs : « Avoir cette voiture neuve est un vrai plus. Je n’ai plus à m’inquiéter d’une éventuelle panne le matin et ce modèle est vraiment moins gourmand en essence. J’ai quasiment divisé par deux ma consommation » explique Emilie, auxiliaire de vie en secteur rural.
Dans la continuité de l’amélioration des conditions de travail, l’ensemble des salariés a également reçu à la rentrée des nouveaux smartphones professionnels. Plus rapides, plus modernes et administrables à distance, ils permettent eux aussi de travailler plus efficacement et sereinement.

Le 24 septembre et les 10 jours qui ont précédé, l’ADAR mais aussi l’ensemble des structures travaillant auprès des personnes âgées se sont mobilisées dans le cadre d’une opération nationale « Les vieux méritent mieux », avec pour objectifs :
- d’interpeller le Gouvernement et les parlementaires en montrant la capacité de mobilisation du Grand âge,
- d’informer les citoyens des grandes difficultés de l’accompagnement des personnes âgées.
Bénéficiaires, intervenants à domicile et administratifs ont tous jouer le jeu pour porter haut et forme ce message commun. Merci à tous pour votre mobilisation !
Silène, bailleur social historique de Saint-Nazaire Agglo et Cap Atlantique, fait face à une augmentation des situations de fragilité parmi les locataires, due à diverses causes telles que les crises successives, le vieillissement de la population, l’isolement, les troubles psychologiques et la dimension économique. Afin de minimiser l’impact de ces fragilités, il est crucial de repérer et d’accompagner les locataires concernés de manière anticipée et préventive. L’ADAR s’est donc rapproché de Silène pour formaliser un partenariat clé pour le soutien à domicile.
L’adaptation au vieillissement est un enjeu majeur pour notre société et particulièrement dans le domaine de l‘habitat. Il est essentiel de maintenir l’intégrité de chaque maillon pour assurer une cohérence globale, qu’il s’agisse de l’infrastructure ou de l’accompagnement social. C’est bien là le coeur de métier de Silène : être au service de l’intérêt général, indique Xavier Perrin, Président de Silène
Prévention et actions coordonnées
Chaque collaborateur de Silène en contact avec les locataires joue un rôle essentiel dans la détection et prévention des situations délicates. Les personnes âgées logées dans le patrimoine de Silène sont souvent confrontées à des défis particuliers, tels que l’isolement social et des besoins spécifiques liés à leurs conditions physiques ou cognitives. Silène et l’ADAR 44 vont donc développer des actions communes et coordonnées pour garantir un accompagnement optimal des locataires âgés, en situation de handicap ou fragilisés par la maladie.
Les actions visent à favoriser leur maintien dans le logement, à prévenir l’isolement social et à promouvoir leur bien-être.
Plusieurs objectifs ont été identifiés pour cette coopération entre Silène et l’ADAR44 pour :
1. Renforcer l’interconnaissance des équipes opérationnelles
2. Alerter et signaler mutuellement des situations individuelles
3. Détecter, prévenir et lutter contre l’isolement
4. Développer un soutien spécifique pour les besoins complexes comme l’incurie dont le syndrome de Diogène
5. Promouvoir les offres d’emploi de l’ADAR44 auprès des locataires actifs de Silène
Cette convention est la traduction de l’engagement sans faille au service de la ville et des politiques sociales. Par cette collaboration stratégique, l’ADAR44 et Silène affirment leur rôle d’acteurs clés dans le soutien et l’accompagnement des populations fragiles, contribuant ainsi activement à une dynamique urbaine et sociale positive.
Nous incarnons au quotidien les valeurs de respect, bientraitance et de solidarité. Avec ce partenariat, nous nous inscrivons résolument dans une réflexion partagée et constructive avec les partenaires de l’économie sociale et solidaire sur les territoires, au plus près des besoins des personnes accompagnées, précise Brigitte Boureau, Président de l’ADAR44

De gauche à droite, Xavier Perrin (président de Silène), Sandrine Williamson (directrice de Silène), Brigitte Boureau (présidente de l’Adar 44) et Audrey Dufeu (directrice de l’Adar 44)
L'Assemblée Générale 2023 s'est tenue le 18 juin 2024
Salle comble pour l’Assemblée Générale 2023 qui réunissait les adhérents, partenaires et salariés de l’association. Ce fut l’occasion de revenir sur les temps forts de l’année et de saluer le travail de la présidente Monique Dube qui a souhaité passer la main.
Lyliane Jean, Vice-Présidente du Conseil Départemental en charge des personnes âgées et de la solidarité entre les générations est intervenue au sujet de la réfoem des SAD. La table ronde a quant à elle permis de mettre en lumière le travail engagé par l’ADAR pour un rapprochement pragmatique avec les métiers du soin. Y participaient : Mélanie Bourget, responsable de service au SSIAD de Nozay, Thomas Verron, Directeur des parcours patients et des relations territoriales au CHU de Nnates, ainsi que Carole LATRILLE, cadre de secteur et Véronique Godet, responsable qualité à l’ADAR.
L’après-midi fut conclu par des félicitations de rigueur aux derniers salariés ayant obtenu leur titre ADVF cette année. Ils sont montés sur scène pour une photo souvenir.

Publication du rapport d'activité 2023
L’Assemblée Générale fut l’occasion de publier le Rapport d’activité 2023. Vous y retrouverez les principales données de l’activité de l’année écoulée, des interviews, des témoignages et les orientations 2024.
Bonne lecture !

A l’ADAR, notre rôle est de vous accompagner au quotidien mais aussi de vous informer sur vos droits et vous proposer des solutions adaptées.
Depuis le 1er janvier 2024, le Gouvernement a mis en place « Ma Prime Adapt », une nouvelle aide financière destinée à sécuriser les logements des personnes âgées de plus de 60 ans et/ou en situation de handicap.
Cette aide permet aux ménages modestes et très modestes de pouvoir financer une partie des travaux d’aménagement du logement. Par exemple :

Ai-je droit à la subvention Ma Prime Adapt’ ?
Pour le savoir, vous pouvez contacter les conseillers France RENOV, ou le SOLIHA Loire Atlantique qui saura vous aiguiller et proposer la visite d’un ergothérapeute
Vous pouvez aussi joindre notre partenaire référencé APIS PMR saura vous accompagner pour une prise en charge « clé en main » : étude du besoin, dépôt du dossier de subvention (si éligible), réalisation des travaux.
Reportage dans les coulisses de l'ADAR
Chaque année, l’organisation de l’été représente un grand challenge pour les 72 coordinateurs répartis dans tout le département. L’été dernier, nous avons suivi Esther Lebrun, sur le secteur de Nantes-Nord, qui accompagne 150 bénéficiaires avec 18 intervenants de terrain.
« Dans le secteur de l’aide à domicile, l’été est le moment le plus délicat à gérer, on s’y prépare dès le début d’année ». Voilà comment Esther introduit le sujet quand on l’interroge sur l’organisation du service en juillet-août. « Nous avons 3 paramètres à mettre en musique : les congés obligatoires des aides à domicile qui ont besoin de souffler, les calendriers des bénéficiaires qui partent (ou non) en vacances et les disponibilités et qualifications des remplaçants en CDD ».
Janvier – Participer aux forums emplois
Dès le mois de janvier,, et jusqu’en mai, le service recrutement se met en branle pour recruter des remplaçants en « jobs d’été ». Rencontres étudiantes, job dating, forums de l’emploi… les 3 chargées de recrutement ne ménagent pas leurs efforts pour faire connaître l’ADAR44 auprès des jeunes désireux de s’investir dans l’aide à la personne. En moyenne, 120 personnes en CDD sont nécessaires pour les remplacements d’été.
Février – Recevoir les demandes de congés
La convention collective qui s’applique aux associations comme l’ADAR44 impose aux salariés 15 jours de congés entre mai et octobre et les demandes doivent être impérativement déposées avant fin février. Chacun.e fait donc sa demande en fonction de ses souhaits, en lien avec ses contraintes familiales et personnelles.
Mars – Arbitrer sur les plannings des vacances
Après le recueil, Esther peut alors analyser les demandes et prévoit d’ores et déjà les astreintes des week-ends et des jours fériés. Puis elle accorde les congés à chacun.e des aides à domicile, en bonne entente dans l’équipe, mais jamais plus de 6 à la fois (soit un tiers de l’effectif). « De prime abord, cela peut paraitre étonnant que les congés des intervenants ne soient pas corrélés aux absences des bénéficiaires mais le calendrier ne le permet pas. Et, pour ma part, j’estime essentiel que les membres de mon équipe puissent partir aux dates prévues avec leurs familles. Car un salarié satisfait est un salarié plus motivé et impliqué ! », explique Esther.
Avril – Fixer les besoins de remplacement
Les 70 coordinateurs transmettent ensuite leurs besoins en remplaçants. « C’est mon 3ème été à l’ADAR44, je commence à bien appréhender les besoins des usagers de mon secteur sur cette période », précise Esther. « J’ai donc demandé 2 personnes en renfort en juillet et 2 en août. Les remplaçants n’ont pas toujours les mêmes aptitudes mais avec un peu de flexibilité de la part de chacun, je sais que nous pouvons fournir un service de qualité ». Et Esther sait qu’elle pourra mutualiser les ressources avec ses collègues des secteurs voisins, comme le reste de l’année en cas de tension.
Mai – Prendre contact avec les remplaçants
Quand c’est possible, Esther prend contact dès le mois de mai avec les remplaçants qui viendront épauler son équipe. Après le rendez-vous d’accueil, ceux-ci auront droit à 4h de tutorat puis ‘’sauteront dans le grand bain’’. « Evidemment, on ne leur confie que les situations les plus simples et ce que leur niveau de qualification et d’expérience leur permet de faire.
Ce sera également le moment du recueil des congés des usagers et de leur souhait de remplacement. « Dans la plupart des cas, les bénéficiaires sont très compréhensifs et aimables avec nos nouvelles recrues. J’ai même certaines étudiantes qui sont réclamées d’une année sur l’autre ».
Juin – Etablir les plannings d’intervention
Début juin, Esther se lance dans les plannings. « Cette année, les congés se répartissent plutôt bien et j’ai du renfort. Je prévois le calendrier de juillet jour par jour, en évitant au maximum le roulement des intervenants et en priorisant les besoins. Les usagers chez qui nous intervenons pour de l’aide humaine (lever, coucher, toilette, repas, change) sont évidemment prioritaires, puis viennent ceux qu’on accompagne pour les courses et enfin, ceux chez qui nous faisons de l’entretien. »
Juillet-Août – Une flexibilité indispensable
En théorie, tout est calé… Mais comme le reste de l’année, les plannings peuvent encore évoluer à chaque instant : arrêt maladie d’une auxiliaire de vie, sortie d’hôpital d’un bénéficiaire avec augmentation de la prise en charge, etc. La flexibilité est constante pour maintenir un service de qualité. « D’autant que nous devons toujours mener à bien nos missions de base : évaluations annuelles des situations, suivi des bénéficiaires et des réclamations, liens avec les partenaires eux aussi en mode dégradé… », ajoute Esther avant de conclure avec un sourire « J’aurai bien mérité mes vacances aussi ! »

Les deux associations spécialisées dans la prise en charge et l’accompagnement des personnes âgées avec troubles cognitifs ou perte d’autonomie ont signé le mardi 5 mars une convention de partenariat définissant les modalités d’une offre de répit à domicile pour les aidants familiaux.
Le dispositif Répit Dom pour soulager les aidants
La solution portée par les deux associations permet aux proches aidants de s’absenter quelques heures en proposant un accompagnement au domicile de la personne aidée ou en proximité. Il permet ainsi de répondre à de multiples objectifs :
- permettre au proche aidant de pouvoir se libérer quelques heures plusieurs fois dans l’année,
- contribuer au soutien à domicile,
- favoriser le lien social du proche aidant,
- offrir une prestation adaptée et sécurisante au profil de la personne aidée,
- prévenir l’épuisement de l’aidant.
Un service gratuit, pris en charge par ALFa Répit
Dans le cadre de ses nombreuses missions de soutien aux aidants, ALFa répit propose notamment d’offrir à ses bénéficiaires des solutions de temps libéré ponctuel (avec séparation de l’aidant et de l’aidé) ou accompagné (sans séparation, intégrant la dimension de « bon temps passé ensemble ») à domicile. Cette prestation réalisée par l’ADAR est alors totalement gratuite pour les aidants, grâce à une enveloppe financière de l’Agence Régionale de Santé (ARS). Les personnes qui peuvent en bénéficier sont les aidants d’une personne ayant une maladie neuro-évolutive ou en perte d’autonomie avec lesquelles ils habitent et qui se sont manifestés auprès de l’association ALFa Répit.
Une prestation sur mesure de l’ADAR
Les créneaux de prestation sont compris entre 2h et 5h dans le cadre d’une enveloppe de 20h maximum par an et permettent de s’adapter au planning et aux besoins de l’aidant. Les professionnels de l’ADAR, spécialisés dans la prise en charge de personnes en perte d’autonomie sont formés aux troubles cognitifs et permettent un véritable répit en toute confiance et sécurité. Simple compagnie, activité stimulante (jeux, tricot…), balades, les possibilités sont nombreuses selon la situation de la personne aidée.
Audrey Dufeu, Directrice Générale de l’ADAR :
« L’Adar maille tout le territoire depuis 50 ans et nous continuerons d’être aux côtés des aidants pour les soulager et leur permettre de prendre soin d’eux. Nous sommes honorés de la confiance d’ALFa-Répit pour ce nouveau dispositif. C’est une véritable reconnaissance de notre savoir-faire. Nos équipes seront formées spécifiquement sur les troubles cognitifs et nous espérons recruter encore davantage d’aides à domicile qui auraient envie de nous rejoindre dans ce projet ! »
Véronique Mallard, Directrice d’ALFa Répit :
« ALFa Répit le Relais des aidants intervient sur le Nord Loire de la Loire Atlantique aux cotés des familles. Cette offre de service, complémentaire à l’existant, permettra de répondre à des besoins de rendez-vous, d’ateliers du relais des aidants, prendre un temps pour eux afin de faciliter le quotidien. Ceci est un plus dans l’accompagnement des aidants. »
Pour contacter l’association ALFa Répit : 02 40 66 94 58 – contact@alfarepit.fr